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Violette, de l'Amour dans l'assiette
24 juillet 2008

24 clés pour l'équilibre alimentaire

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Yolande Buyse, naturopathe et puéricultrice a retrouvé la santé grâce aux méthodes naturelles de santé et à l’alimentation saine. Depuis 28 ans, elle enseigne et prodigue une aide efficace aux malades et aux biens portants. Elle vous livre ici 24 clés pour s’assurer une alimentation naturelle, saine et équilibrée.

Manger sain et équilibré permet non seulement de mieux digérer mais aussi de mieux assimiler et favoriser sa santé physique et mentale, se traduisant notamment par une belle peau, de beaux cheveux et un regard vif.

Une nourriture saine procure bien sûr des bienfaits au niveau individuel, mais l’environnement en bénéficie aussi : la terre, les plantes, les animaux et les êtres humains vivent mieux. En effet, une telle alimentation contribue notamment à favoriser l’agriculture naturelle, biologique et durable, sauvegarder les forêts, les eaux, l’air, réduire les dépenses d’énergie et permet à chacun de manger à sa faim.
Bien sûr, l’alimentation saine ne peut se résumer à 24 clés mais celles présentées ci-dessous ont le mérite d’être incontournables. Pour approfondir, lisez des livres sur le sujet, assistez à des stages pratiques, questionnez votre magasin de produits naturels.

1ère clé : Manger selon sa vraie faim
Observer et respecter les signes de faim et de satiété. Manger quand la vue, l’odeur, le goût sont agréables et procurent du plaisir.
Tout ce qui est ingéré après les signes d’arrêt porte préjudice à la santé.
Mastiquer et insaliver lentement pour que l’aliment soit reconnu par les papilles gustatives et que le corps puisse s’exprimer.
Plus un aliment est modifié –cuit, salé, sucré, dans une sauce, combiné à des additifs, etc – plus les signaux du corps sont brouillés.
Eviter les aliments trop chauds ou trop froids ainsi que les épices fortes.
Manger peu ou s’abstenir en cas de malaises physiques ou psychologiques. Les signes de satiété peuvent alors fonctionner correctement.

2ème clé : Manger naturel et biologique
Pour améliorer votre santé, choisir des aliments naturels biologiques comporte de nombreux avantages. Evidemment vous ingurgitez moins de produits chimiques, pesticides, fongicides, herbicides, antibiotiques, hormones, etc…De plus, vous vous nourrissez d’aliments plus riches en enzymes, antioxydants, vitamines, minéraux essentiels, ainsi qu’en protéines assimilables.

3ème clé : manger plutôt cru
Les aliments crus conservent leurs vitamines, leurs minéraux et surtout leurs enzymes qui sont essentielles à leur assimilation.
Utiliser des huiles non chauffées pour éviter les lipides saturés. L’instinct, c'est-à-dire la faculté du corps à exprimer ses besoins vitaux, fonctionne aussi plus facilement avec les aliments crus.

4ème clé : Proportionner les aliments acidifiants à 25% et les alcalinisants à 75%
La prédominance d’aliments alcalinisants est nécessaire pour assimiler les minéraux ingérés.
Aliments acidifiants : viande rouge, charcuterie, fromages cuits, fruits immatures ou cuits, pâtisseries, sucreries, boissons sucrées…
Aliments alcalinisants : algues, graines germées, légumes crus, fruits crus doux et mûrs, fruits oléagineux crus et trempés, huiles végétales naturelles non chauffées…

5ème clé : Equilibrer sa consommation de nutriments en fonction de l’âge de l’activité et de la température de la journée.
L’équilibre alimentaire 60-20-15-5 indique le pourcentage du poids des aliments d’une journée d’un adulte sédentaire, en climat tempéré, réparti sur 24 heures.
60% de vitalisants. Les fruits, légumes, graines germées, algues fraîches et certains compléments alimentaires naturels contenant beaucoup de vitalisants : enzymes, antioxydants, vitamines, minéraux et fibres jeunes.
20% de protéines : œufs, noix, poissons, viandes, produits laitiers
15% de glucides : tous les farineux, ou hydrates de carbone, et les nutriments contenant des fibres dures. Distinguer les glucides lents (index glycémique bas), complexes (index glycémique bas ou élevé en fonction de la combinaison alimentaire) et rapides (index glycémique élevé)
5% de lipides : huiles végétales, graisses animales.

6ème clé : Adapter son alimentation au climat
Climat plus froid : consommer moins de vitalisants, d’aliments crus, autant de protéines – plus de glucides, un peu plus de lipides, moins de liquides.
Climat plus chaud : consommer plus de vitalisants, d’aliments crus, autant de protéines – moins de glucides – un peu moins de lipides – plus de liquides.

7ème clé : Préserver les vitalisants
Les vitalisants – antioxydants, enzymes, vitamines, minéraux etc… - se détériorent rapidement dès qu’ils sont retirés de leur milieu de vie.
Eviter ou réduire les traitements chimiques, physiques, mécaniques ainsi que le stockage qui réduisent la valeur nutritive des aliments.
Varier la consommation de vitalisants. Inclure dans l’alimentation : algues, jus de pousses de céréales, luzerne germée, pollen, etc…
Prendre l’habitude d’ajouter des fleurs comestibles : violette, roses, pâquerettes, soucis, mauve, yucca, lamier, coquelicot, églantier, etc… à chaque repas. Elles fournissent des vitalisants et ajoutent des plaisirs au décor.

8ème clé : Choisir les protéines
Les protéines sont constituées d’acides aminés essentiels et servent à construire, développer, entretenir les tissus. Consommer :
- Plus de protéines végétales qu’animales,
- Des légumineuses germées,
- Des œufs frais cuits légèrement,
- Des produits au lait cru,
- Des noix et autres fruits oléagineux non chauffés,
- Des superaliments riches en protéines : levure alimentaire, gelée royale, etc…

9ème clé : Selon la tolérance individuelle, consommer un peu de produits au lait cru naturel
Le lait cru et le fromage au lait cru contiennent tous les enzymes qui permettent de bien les digérer. Cependant, chauffé à plus de 40°C, le lait subit des transformations physiques et bio chimiques qui le rendent toxique pour l’alimentation humaine.
Dans la plupart des ethnies (75% de le population mondiale), une majorité de personnes sont intolérantes au lait : dans ce cas, il est indispensable de supprimer totalement le lait et les produits laitiers.
L’intolérance au lait se manifeste par différents signes après l’ingestion : nez bouché, gorge embarrassée, mal aux oreilles, diarrhée, etc…
Les allergies, dues en grande partie à l’état de santé de la muqueuse intestinale, peuvent entrainer des troubles musculaires, articulaires, hormonaux, respiratoires, circulatoires… si vous constatez ces signes : éliminez les produits laitiers. Les conditions de santé vont s’améliorer. Ensuite, consommer des produits laitiers au lait cru, toujours avec modération, sauf en cas d’intolérance au lait.

10ème clé : Préférer les glucides lents
Les glucides produisent de l’énergie. Ils sont lents, rapides ou complexes, selon qu’ils sont assimilés plus ou moins rapidement.
Les glucides rapides, fournisseurs « brutaux » de sucres, donnent en quelques minutes une sensation d’énergie rapidement suivie par une forte baisse de cette énergie (dépression). Ces glucides ne sont pas favorables à la santé.
Les glucides lents sont assimilés plus lentement et maintiennent une énergie plus durable.
Les glucides complexes (c'est-à-dire à index glycémique bas ou élevé en fonction de la combinaison alimentaire) tels que pomme de terre, igname, châtaigne, banane plantain, tapioca, consommés seuls, se comportent en glucides rapides.
Consommés avec des protéines, ils se comportent comme des glucides lents.
Les céréales crues sont peu digestes.
Cuire les glucides à moins de 70° afin d’en préserver la valeur nutritive.
Consommer les farines très fraîches, sinon elles s’oxydent, rancissent et deviennent toxiques.
11ème clé : Eviter les céréales à gluten
Blé, orge, avoine, seigle, épeautre, kamut, etc…contiennent du gluten qui occasionnent chez de nombreuses personnes des inflammations des muqueuses.
Eviter le seitan qui est du gluten pur.
Eviter de consommer le maïs : à long terme, il donne les mêmes effets négatifs que le gluten. La culture du maïs appauvrit la terre.
Découvrir des céréales sans gluten : amarante, millet, quinoa, riz, sarrasin, sorgho, mil…
Ils sont savoureux, cuisinés facilement et bons pour la santé. Ils contiennent plus de vitalisants et de protéines que les céréales courantes.

12ème clé : Utiliser modérément la fleur de sel naturelle
Elle contient la majorité de minéraux nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. Seule la fleur de sel naturelle est séchée au soleil, d’autres subissent une dessiccation dans des fours très chauds et sont parfois passées au micro ondes.
A défaut, utiliser parcimonieusement du sel marin complet selon les besoins individuels. Les sels de table courants composés de chlorure de sodium, de glutamate de sodium et d’autres additifs, parfois toxiques, sont très préjudiciables à la santé.

13ème clé : Eviter les sucres industriels
Ces sucres sont acidifiants et inhibent la vitalité des globules blancs.
Si on manque d’énergie, lors d’un effort prolongé, consommer un peu de sucre naturel rapide : miel, suc ou sève de canne, sirop d’érable, d’agave, de malt, etc…
Pour avoir le goût sucré, utiliser la stévia complet, plantes vitalisante. Cette plante ornementale peut se cultiver facilement en appartement. Lorsqu’on fait un gâteau, une demi feuille fraîche suffit pour sucrer la préparation.

14ème clé : Consommer du pain de graines germées ou du pain au levain
La germination des graines transforme ou élimine leur gluten.
Le pain au levain est minéralisant, le pain à la levure est déminéralisant. La panification au levain et la cuisson longue à feu doux transforment l’acide phytique, déminéralisant en phytates assimilables.

15ème clé : Consommer les lipides crus et non saturés
Les lipides, huiles et graisses, sont essentiels pour produire de l’énergie, construire, protéger, transporter les nutriments. Inclure en moyenne 5% du poids de vos aliments en lipides. Ne pas rechercher à éliminer tout gras de votre alimentation.
Consommer peu de lipides saturés : graisses animales, huiles de palme et de coco. En excès, le foie les transforme en cholestérol.
Consommer surtout des lipides polyinsaturés : huiles végétales de première pression à froid et jaune d’œuf cru.
Consommer deux fois plus d’acide gras oméga 6 (chaque jour 1 c à s par jour de blé germé, graines de courge, noix, huile d’onagre, de bourrache, etc…) que d’oméga 3 ( 1 c à c de graines de lin, 1 c à s d’huile de poisson d’eau froide). L’huile de chanvre contient exactement cet équilibre.
Choisir des lipides de haute valeur nutritive et d’excellente qualité de production et de conservation.
Principales sources de lipides : jaune d’œuf, noix, fruits oléagineux, huiles végétales, graisses animales dont les produits au lait cru ainsi que les poissons des mers froides.

16ème clé : Régulariser sainement le cholestérol
Le cholestérol, substance d’origine animale ou synthétisée par l’organisme humain, joue un rôle important dans le métabolisme des hormones et des vitamines liposolubles, la production de la bile et la protection de la peau.
Environ 80% du cholestérol est produit par l’organisme et 20% proviennent des graisses animales. Il n’y a pas de cholestérol dans les végétaux.
Consommer des graisses de bonne qualité est nécessaire pour régulariser le taux de cholestérol qui joue un rôle important dans le métabolisme cellulaire, particulièrement du système nerveux et du cerveau.
Le cholestérol est composé de lipides de haute densité, le HDL ou « bon cholestérol » et de lipides de basse densité, le LDL ou « mauvais cholestérol ». Il importe de favoriser le bon cholestérol et réduire le mauvais cholestérol. Augmenter la consommation des vitalisants, et en particulier de fibres réduit la fixation du cholestérol dans les artères.
La gestion de la tension psychologique réduit le taux de LDL.

17ème clé : Combiner adéquatement vos aliments
Les combinaisons alimentaires favorables permettent une meilleure assimilation. Consommer un seul aliment protéine par repas facilite la digestion.
La digestion d’un repas comprenant une protéine et une céréale est un peu plus longue que lorsque les aliments sont mangés séparément dans les régimes dissociés, mais l’assimilation au niveau cellulaire est meilleure et plus équilibrée.
Les combinaisons alimentaires :
- Favorables : melon ou pastèque se mangent seuls, fruits et noix ; fruits et produits laitiers (pour les personnes tolérantes aux produits laitiers) ; légumes et graines germées ; légumes, une protéine et un farineux ; une protéine et un farineux.
- Passables : fruits et légumes ; viande et produits laitiers (pour les personnes tolérantes aux produits laitiers)
- Défavorables : farineux et sucres – farineux et fruits ; protéines et sucre ; noix et œufs ; œuf et viande ; viande et noix ; viande et levure ; œuf et levure alimentaire ; plusieurs protéines et plusieurs farineux associés.

18ème clé : Cuisiner à feu doux
Cuire les aliments à feu doux, entre 45°C et 70°C. Cette cuisson plus longue, donne des aliments d’une saveur incomparable et d’une autre qualité nutritive.
Utiliser un thermomètre pour apprendre à cuire à la bonne température !
Les casseroles « santé » en titane, acier inoxydable, fonte émaillée, verre, terre ou céramique sont préférables.

19ème clé : Sécher vos aliments pour manger bio et pas cher toute l’année
Faire sécher ou déshydrater est en général la méthode la plus simple, la plus naturelle et la plus économique pour conserver au maximum les valeurs nutritives des aliments pendant une année.
Le séchage stoppe la croissance bactérienne et élimine donc 80 à 90 % de l’humidité. Ce mode de conservation préserve au mieux la valeur nutritive des aliments.
Déshydrater légumes, graines germées, fines herbes, fruits, viandes et poissons. Profiter des prix avantageux du marché à la haute saison ou lorsque la récolte du jardin est abondante.

20ème clé : Manger et boire à température modérée
La température de l’organisme, 37°C est idéale pour manger et boire. Cette température permet de bien savourer, laisser les sucs digestifs agir correctement, utiliser le minimum d’énergie pour le travail digestif, digérer correctement, éviter des malaises digestifs et, à long terme, des troubles variés.
Plus on s’écarte de cette température, plus le corps doit fournir de l’énergie pour s’équilibrer.

21ème clé : Consommer des graines germées
La germination améliore la valeur nutritive des aliments. Quand une graine germe, les vitalisants –enzymes, vitamines, minéraux – les protéines et les sucres assimilables se multiplient très rapidement.
C’est un grand avantage pour se nourrir l’hiver, lorsque la nature offre peu d’aliments frais.

22ème clé : Consommer souvent une petite quantité d’aliments lactofermentés
Les aliments lactofermentés (macérés longuement en milieu salé) sont de conservation facile, rapide. Peu onéreux, ils sont utilisés dans de nombreux pays. La choucroute en est l’aliment type.
La lactofermentation augmente la qualité nutritive des aliments, transforme leur saveur, améliore leur digestibilité et est économique.
Consommer chaque jour une petite quantité (1 à 2 c à s) d’aliments lactofermentés crus.
Plusieurs végétaux peuvent être lactofermentés, notamment : choux, carottes, betteraves rouges, algues, fines herbes, fruits très sucrés, légumes et pousses.

23ème clé : Changer lentement mais sûrement vos habitudes alimentaires
Certaines personnes changent radicalement leur alimentation et en sont très heureuses. D’autres changent plus progressivement et en sont satisfaites. Un changement brutal d’habitudes alimentaires peut provoquer un abandon rapide. Par exemple, si le tube digestif n’est pas prêt à assimiler une grandê quantité de crudités, il réagira par des ballonnements, des coliques, de la diarrhée, signes qui pourront faire penser que le changement alimentaire ne convient pas.
Des signes de désintoxication – diarrhée, langue chargée, boutons, urines foncées, rhume, petites douleurs articulaires subites, maux de tête, fièvre, grosse fatigue, mauvaise odeur…peuvent aussi survenir. Ces malaises sont en général passagers et disparaissent graduellement. Progresser lentement mais sûrement favorise la réussite d’un changement alimentaire.
Des signes d’amélioration peuvent apparaître, vite ou lentement selon l’état de santé : meilleur sommeil, régularité intestinale, augmentation des performances au travail et dans le sport, disparition des somnolences pendant la journée, amélioration de la mémoire, meilleure humeur, vigueur sexuelle, équilibre du poids, éclaircissement des yeux et de la peau, embellissement des cheveux et des ongles, affinement de la vue, de l’audition et du goût, assouplissement des articulations, etc…

24ème clé : Changer vos habitudes alimentaires par étapes

Voici des changements concrets à appliquer graduellement :
- Comprendre les raisons de changer ses habitudes alimentaires
- S’informer des effets à court et à long terme de ces changements
- Eviter graduellement les aliments contenant des additifs et des graisses chauffées
- Augmenter petit à petit, les aliments biologiques et la proportion d’aliments crus
- Commencer chaque repas par des crudités
- Introduire progressivement les graines germées
- Faire germer et augmenter la part des légumineuses
- Diminuer progressivement la viande, les sauces, le blé et les produits laitiers le soir
- Prendre un peu de jus naturels de légumes frais, le matin avant le repas
- Diminuer les desserts
- Remplacer le grignotage par des fruits biologiques frais ou secs en quantité modérée
- Remplacer les boissons sucrées par des jus de légumes frais, des infusions, ou mieux encore, par une bonne eau de source, c'est-à-dire ayant un pH compris entre 6 et 7 et peu minéralisée : de 50 à 15 mg de sels minéraux par litre
- Découvrir le pain aux graines germées cuit à basse température
- Remplacer la viande par des œufs biologiques, des noix, des légumineuses germées et des algues
- Supprimer les produits laitiers chauffés et prendre à l’occasion un peu de lait cru
- Diminuer le sucre blanc et le remplacer par du sucre naturel, non chauffé, déshydraté à basse température et complet
- Remplacer le sel blanc par du sel marin complet
- Se reposer ou manger très léger en cas de fatigue
- Prendre le temps de bien mastiquer, de savourer, de manger dans la bonne humeur et la joie. Ce n’est que dans ces conditions que le corps peut nous indiquer ces signes de satiété.

Ces pistes ont fait leurs preuves. Equilibrer lentement mais sûrement votre alimentation améliorera votre qualité de vie. Bonne satiété avec une nourriture saine, savoureuse et équilibrée et bonne santé !

Yolande Buyse naturopathe diplômée, anime des cours et des ateliers pratiques sur l’alimentation saine et les méthodes naturelles de santé, ainsi que de nombreux stages pratiques, certains en collaboration avec André Passebecq

Source : BIO CONTACT avril 2003

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Commentaires
A
Merci pour ces informations très intérréssantes !
L
ca me fait penser à la méthode Kousmine que j'essaie de suivre (non strict).<br /> Merci pour ces infos.
E
Un article des plus enrichissants!<br /> J'applique déjà pas mal de ces règles mais encore qqs efforts d'équilibre et tout sera presque parfait!
E
génial cet article et vraiment tres informatif! j'y arrive, pas à pas; certaines choses j'ai encore du mal...je n'aime pas le lait cru, quoique je remplace les produits laitiers dès que je peux....et pour les gremes et le pain....petit à petit!
L
Merci pour ce partage !
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